vendredi 15 février 2019


MUCHAS GRACIAS, PUEBLOS DE VENEZUELA

Extrait de mon journal personnel du 14 février 2019.  Fête de l’amour et de l’amitié.

Daniel Paquet                                                     dpaquet1871@gmail.com

MONTRÉAL – Je savoure le silence.  On est si bien; mais il fait si froid dehors en ce jour de neige abondante.  Rompt la nuit une petite horloge :  tic-tac!  Je commence à avoir des idées concernant l’échec le plus ou un des plus retentissants depuis la guerre du Vietnam pour les « gros cigares » yankees :  leur militarisation préméditée au Vénézuéla.

C’est-à-dire celui qui met en déroute Donald Trump et ses « rookies »°¬, dont l’Union européenne.  Je vous le donne en mille, c’est l’œuvre d’un grand mouvement populaire dans ce pays sud-américain.  Ce peuple goûte depuis 20 ans la démocratie et la liberté, de Hugo Chavez à Nicolas Maduro; il est désormais prêt à vendre chèrement sa peau, y compris devant les puissants canons de Trump et ses béni-oui-oui (« yesmen »).

Ça, c’est une formidable gifle frondeuse; une bonne « claque dans la face » comme on dit au Québec.
Et maintenant?  L’Organisation militariste pro-USA (l’OTAN) devra retirer ses billes.  Les anciens pays colonisateurs ne le savent que trop; mais comment ne pas perdre la face? N’est-ce pas vous les dirigeants de la France, du Portugal, d’Espagne, d’Allemagne, d’Italie, des Pays-Bas ou de Grande-Bretagne?

Pour les USA, il faudra « ré-expliquer » à la population, gavée, depuis la fondation de ce jeune pays, d’idéologies tarées telles que l’individualisme, de pragmatisme et de chauvinisme de grande nation ce qu’est une catastrophe…

Et le fameux Mur entre les USA et le Mexique, alors?  Il ne se justifie plus que par la volonté de Trump – piaffant, tempêtant et vociférant – de ne pas perdre partout.  Après tout l’élection présidentielle est proche.  Le mouvement MeToo, ou encore la jeunesse qui ne veut plus être la prochaine cible de tueurs, se rappelleront de Donald Trump.  De toute manière, les gens aux USA n’aiment pas les « loosers ».  Trump, même s'il refuse à l'avouer à Macron, May, Trudeau ou Merkel; et surtout à lui-même, en est à son baroud d’honneur.  Il ne pourra pas régler les « crises » et les guerres au Proche-Orient, malgré les attentes et le soutien du ténébreux Benjamin Netanyaou.

Oui, monsieur Trump, le chœur des peuples opprimés chantera avec allégresse votre chant du cygne.




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