ON VA T'AVOIR ADOLF HITLER ou FINIES LES "IDÉES" NAZIES

Daniel Paquet MONTRÉAL - Qu'est-ce qu'il pouvait être grotesque et ridicule ce Hitler en croyant bâtir un empire (le troisième Reich) pour mille ans avec Berlin pour capitale. Il n'aura duré que de 1933 à 1945... mais en entraînant la mort de 50 millions d'êtres humains. Anti-communiste convaincu, il ne jurait que par le fascisme. Sa "pensée", elle se résume à quelques pages dans l'ouvrage que lui et sa clique ont rédigé, Mein Kampf (Mon combat). C'est un ramassis de conceptions racistes et vulgaires, notamment contre les Juifs, et les peuples slaves et autres. Pour la droite allemande et les grands konzerns (industriels et banquiers), il arrive à point nommé pour dévoyer le peuple du grand poète Goethe. C'est une crise profonde dans le pays germanique: chômage et pauvreté. La mentalité régnante: résignation et fatalisme ("on ne pourra jamais rien changer", "on n'y peut rien"). Une sous-culture s'installe; c'est la domination du lumpen prolétariat aurait dit Karl Marx ou l'épopée des bougons comme on dit au Québec. Le socle de cette façon de voir et de vivre, c'est l'individualisme effréné, l'anarchisme et la délinquance généralisée. Comme on dit encore à Montréal, ça va mal "à shoppe". L'ambiance va au pessimisme. Le chef du Parti conservateur du Canada, M. Pierre Poilièvre y trouverait son compte. L'issue à cette montée du fascisme fut la deuxième guerre mondiale. Il faut éviter que maintenant des politiciens de droite et d'extrême-droite (Netanyou d'Israël et Zelensky d'Ukraine) nous plongent dans une troisième guerre mondiale; car la quatrième, à coup sûr, se fera avec des haches de silex comme l'avait prédit le savant Albert Einstein. Toutefois, comme me l'a dit maintes et maintes fois mon grand-père Eugène, il y a la vie, le soleil, la nature et le chant des petits oiseaux...